Au terme des auditions dans l'affaire dite de trafic de visas impliquant les activistes et rappeurs Landing Mbissane Seck alias Kilifeu et Simon Kouka, leurs avocats ont apporté des clarifications sans entrer dans le fond du dossier en raison du secret de l'instruction.
"Les auditions se sont passées dans d'excellentes conditions. Simon et Kilifeu ont répondu à toutes les questions. Ils ont contesté les infractions qui leur sont imputées. Cela s'est passé dans un climat de sérénité", a expliqué Me Moussa Sarr qui était accompagné par ses collègues.
Le pool d'avocats se dit, par ailleurs, confiant quant à une éventuelle liberté provisoire en faveur de Kilifeu et Simon, les prochains jours.
"À la suite des auditions, le pool d'avocats a introduit des demandes de mise en liberté provisoire et nous espérons que la semaine prochaine, nous auront la suite, mais nous restons confiants parce qu'encore une fois, au regard du dossier, les infractions retenues contre nos clients ne reposent sur aucun fondement juridique pertinent. Il s'agit ni plus ni moins d'une volonté de retenir nos clients en prison parce que ces infractions n'ont aucun rapport avec les faits de l'espèce", a soutenu Me Moussa Sarr.
Les activistes Simon et Kilifeu ont été entendus, ce 5 octobre, par le juge du 2ème cabinet pendant plus de 7 tours d'horloge.
Les 2 rappeurs avaient recueilli, le 15 septembre dernier, un mandat de dépôt pour les délits d'association de malfaiteurs, trafic de migrants, faux et usage de faux, entre autres griefs.
"Les auditions se sont passées dans d'excellentes conditions. Simon et Kilifeu ont répondu à toutes les questions. Ils ont contesté les infractions qui leur sont imputées. Cela s'est passé dans un climat de sérénité", a expliqué Me Moussa Sarr qui était accompagné par ses collègues.
Le pool d'avocats se dit, par ailleurs, confiant quant à une éventuelle liberté provisoire en faveur de Kilifeu et Simon, les prochains jours.
"À la suite des auditions, le pool d'avocats a introduit des demandes de mise en liberté provisoire et nous espérons que la semaine prochaine, nous auront la suite, mais nous restons confiants parce qu'encore une fois, au regard du dossier, les infractions retenues contre nos clients ne reposent sur aucun fondement juridique pertinent. Il s'agit ni plus ni moins d'une volonté de retenir nos clients en prison parce que ces infractions n'ont aucun rapport avec les faits de l'espèce", a soutenu Me Moussa Sarr.
Les activistes Simon et Kilifeu ont été entendus, ce 5 octobre, par le juge du 2ème cabinet pendant plus de 7 tours d'horloge.
Les 2 rappeurs avaient recueilli, le 15 septembre dernier, un mandat de dépôt pour les délits d'association de malfaiteurs, trafic de migrants, faux et usage de faux, entre autres griefs.
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